Dieu nous a libérés du péché pour un dessein précis. En comprenant notre identité en tant qu’église, héritiers des promesses divines, nous réalisons que tout nous a été donné pour participer à la nature divine (2 Pierre 1:3). Nous sommes complets en Christ, formant une famille divine.
Malgré les bénédictions, il est facile de s’installer dans notre zone de confort, oubliant que Dieu nous a donné notre ville comme champ missionnaire. Le cri des opprimés touche le cœur de Dieu, comme cela s’est manifesté à travers le peuple de Dieu dans le désert et la révélation de l’Eternel à Moïse à travers le buisson ardent.
Quitter la montagne, notre zone de confort, est essentiel. La construction de la tente par le peuple, où Dieu résiderait, rappelle la promesse de l’Éternel conservée pour mille générations. Nous devons avoir une vision qui couvre tout le territoire, arroser la terre de nos larmes et de nos prières.
L’unité du corps de Christ est cruciale pour contrer les maux qui minent la société. La conversion nous a libérés, mais il est temps de prendre autorité, de sauver, délivrer, apporter l’Évangile du royaume de Dieu et être un témoignage au monde.
Les attaques spirituelles ne peuvent arrêter le dessein divin. La décision de pardonner, d’avancer, de vivre les promesses de Dieu et de témoigner est notre réponse à l’appel de conquérir pour Christ. La transfiguration de Moïse dans Matthieu 17 longtemps après l’exode, souligne que ceux qui cherchent à détruire notre appel ne peuvent prévaloir. Face à l’oppression, la gloire s’accroît.
Le rêve de Dieu est que nous allions plus loin. Prenons la décision de vivre ce rêve, de pardonner, de progresser, de témoigner et de prier pour notre pays.